Un jour à l'envers et des vernis, par Praline

Lundi dernier était peut-être la journée la plus déphasée depuis... longtemps.
5h30 : le réveil sonne, j'essaie de m'extraire de cette couette qui décidément est très accueillante.
6h45 : le train arrive, je le regarde passer comme une vache derrière sa barrière, l’œil morne.
8h : début du partiel de grammaire. Croyez-le ou non, mais je crois avoir réussi à répondre à la question suivante : "Illustrez les notions de cohésion, cohérence et connexité en utilisant le texte 1 en tant qu'exemple à analyser".
Moi non plus je n'en reviens toujours pas, et je serais bien embêtée si je devais repasser l'épreuve aujourd'hui (mémoire immédiate, hein, il ne s'agit pas de triche, non mais).
10h09 : gare Montparnasse, je prends le train pour rentrer chez moi et même si mon esprit sautille intérieurement à l'idée d'avoir une semaine de vacances, mon corps a plutôt l'impression qu'il est l'heure d'aller se coucher.
13h30 : je suis encore relativement en forme, mais comme j'ai l'intention de regarder un film ce soir, je vais faire une petite sieste. Juste quelques minutes pour finir ma nuit.
16h30 : le réveil sonne. Heureusement que je m'étais méfiée.
17h29 : si ça continue comme ça, les Agents du Shield
vont me faire craquer. Trop d'enjeux, trop d'émotions, qui l'eut cru? Le premier épisode ne m'avait pas enchantée mais aujourd'hui je l'avoue, je suis complètement accro.
21h42 : non, regarder l'Odyssée de Pi n'était clairement pas une idée de génie. Non mais vous êtes sérieux? Un zèbre et un orang-outan qui se vont boulotter vivants??? (désolée pour les spoilers)
Pour me remettre de toutes ces émotions, je continue ma lecture de Confessions d'une accro du shopping. Ce livre est par-fait après plus de deux semaines de stress. En temps normal, je ne sais pas. Mais là, je ne demandais pas mieux.

Et pour continuer dans la veine superficielle, parlons vernis.

Ma vernithèque a connu assez récemment un grand ménage et j'ai donné pas mal de couleurs qui étaient belles dans le magasin mais que je ne mettais pas (surtout des couleurs vives en l'occurrence).
Du coup, quand il y a eu une méga offre chez Monop', j'ai sauté sur l'occasion et j'ai choisi deux vernis Essie pour le prix d'un (je n'en revenais pas). Il y avait à peu près quatre couleurs au choix, mais ô joie, parmi elles deux me plaisaient beaucoup.
J'ai donc choisi Take It Outside et The Perfect Cover Up (toujours pas compris ces noms par contre). Le premier est un gris perle très facile à porter, et le deuxième un bleu nuit avec une toute petite pointe de vert qui le rend vraiment original. Mais surtout, les pinceaux!! Les pinceaux!! Plats, larges et arrondis, ce n'est que du bonheur à appliquer.


Essie - Take it outside

 Le mois dernier, un pauvre vernis était sur le point d'être jeté (alerte!) et je ne pouvais pas laisser faire cela donc j'ai sauvé ce flacon d'une bien triste fin et, miracle, j'ai trouvé un autre vernis zen!
Le premier était aussi de la marque Mavala, c'était le Velvet. Ici, il s'agit de Pashmina, une couleur absolument indéfinissable mais qui fais du bien sur les ongles.
Reste le problème des vernis Mavala qui sèchent à toute vitesse (sur les ongles c'est super, dans le flacon un peu moins) et dont le pinceau est riquiqui.

Mavala - Pashmina

Dernier ajout à ma collection, le plus inattendu. Pour mon anniversaire, on m'a offert un vernis Dior. Je croyais que c'était une blague, mais non. Après avoir sautillé de joie / surprise, j'ai choisi la couleur Nuit 1947, surtout grâce à Hélène de Mon Blog de Fille.
Et je l'aime d'amour. Comme promis il est très chic, mais le plus chouette c'est que même en lumière artificielle il n'a jamais l'air noir. Il garde toujours sa belle couleur bordeaux foncé (il paraît que ce n'est pas un bordeaux mais un rouge-noir, ou l'inverse, personnellement je ne comprends pas la subtilité).
Je dois l'avouer : je n'arriverai pas à jeter l'emballage. C'est dit.

Dior - Nuit 1947

Ps : 40ème article, wouhou!
PPS : vivent les robes de chambre et le papier peint pour faire des photos...

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